
J’ai enfin réussi à agrandir mon petit parcours, et non sans mal… cette fois-ci 15 kms au milieu des champs, avec de nombreuses possibilités de prendre une autre route pour arriver plus rapidement.
On a comme une sensation de liberté, on ne pense plus à rien… on pourrait presque s’envoler, et c’est peu dire. Il y avait beaucoup de vent ce jour là, et pas de bâtiment pour s’en abriter. Juste une église à une étape pour faire un petite pause avant de repartir à l’assaut, et oui, il faisait tellement de vent, que j’aurai bien aimé pouvoir rentrer en 2 secondes, mais j’étais en vélo, donc pas de moteur pour m’aider… même pas un paysan avec son tracteur, personne !
Enfin, je suis revenu vivant, mais la prochaine fois, j’essaierai de repérer le trajet avant… et de partir un jour où il n’y aura pas autant de vent…