Harry Potter : Les reliques de la mort (Partie 1)

Et voici Harry de retour pour l'ultime aventure.

Rogue a retourné sa veste et a tué Dumbledore. Les mangemorts agissent de plus en plus impunément, même dans le monde des moldus. Harry s'est vu confié une mission, trouver et détruire les Horcruxes, ces objets dans lequels Voldemort a partagé son âme. Deux sont déjà détruits, le journal de Jedusor et la bague des Gaunt. Le troisième est un médaillon introuvable... Harry, avec Ron et Hermione ont alors une quête difficile pour trouver les 4 derniers Horcruxes et affaiblir celui dont on ne doit pas prononcer le nom.

Cet épisode est très noir, à l'instar du dernier livre de la saga. Attention, on entre tout de suite dans le vif du sujet, ce qui n'est pas plus mal. Les scènes sont très rythmées, tout au long de la cavale des trois amis. Il ne faut pas oublier les relations parfois tendues entre eux, où le médaillon agit un peu comme l'anneau du seigneur, en modifiant la percetion de celui qui le porte. J'ai été par contre surpris de la fin du film. Je m'attendais à ce qu'il y ait une piste sur ce qui se passe ensuite, mais l'action s'arrête en même temps que cette première partie. Rendez-vous en juillet prochaine pour la suite et fin.

L'homme qui voulait vivre sa vie

Paul est un avocat comme les autres. Il gagne bien sa vie, aime sa femme et ses deux enfants. Malgré cela, il n'est pas complètement heureux, il n'a jamais réalisé son rève. Un jour où tout bascule, sur un coup de folie, il tente sa "chance"...

Basé sur un roman de Douglas Kennedy, Romain Duris incarne à merveille le rôle de Paul. Il nous transporte, il nous fait vivre ses émotions. Il n'y a pas de temps mort. Je n'ai pas lu le livre, donc je ne peux pas juger de l'adaptation. Mais la fin, qui est différente de celle du livre, est vraiment convaincante.

Qui n'a jamais révé de tout quitter? de réaliser un rève? Beaucoup y pensent, peu agissent, mais dans des circonstances moins dramatiques que celles du film...

Les petits mouchoirs

Une bande de copain décide de partir malgré tout en vacances au bord de la mer, alors qu'un évènement grave vient d'arriver. Ils vont alors parler du passé, du présent, se révéler les uns aux autres. Entre mensonges et révélations, nous rions et pleurons avec eux...

Magimel, Cluzet, Cotillard, Lellouche, Lafitte et Dujardin, un bon casting pour bien rire pendant 2H30 de film. Mais attention, certaines situations sont soudaines, les émotions sont aussi là et vous tireront sans doute quelques larmes. De plus, on retrouve parfois des situations connues avec des amis, on se rend compte que l'on ment parfois, pour préserver des bonnes relations, alors que la franchise n'est pas forcément mieux. Mais des évènements, heureux ou malheureux, rapprochent toujours les vrais amis.

Des hommes et des dieux

Dans les années 90, 8 moines vivent au Maghreb, dans un monastère près d'un village. Ils cultivent des terres, vendent leur production au marché, le médecin du groupe fait des consultations pour la population locale. Ils vivent donc en harmonie avec le peuple musulman. Mais alors que des travailleurs étrangers se font tuer, le danger se rapproche. Ils sont alors partagés entre le désir de rester et de faire face, et celui de partir en abandonnant les gens du village...

Dès la première seconde du film, on vit avec les moines. On suit leurs habitudes, leur vie en communauté. Puis face à l'adversité, on se demande comment on réagirait à leur place. Cette histoire relatent les évènements qu'on vécut les moines de Tibhirine, et nous donne une leçon de vie, de tolérance envers nos semblables, de toute croyance et de toute religion.

Le bruit des glaçons

Charles est un écrivain qui se balade avec son seau à glace sous le bras, dans sa demeure de campagne. Séparé de sa femme, noyé dans l'alcool, il reçoit la visite d'un étrange personnage, son cancer...

Le couple Dujardin-Dupontel réussit un joli coup. Dujardin dans un registre que l'on ne lui connaissait pas beaucoup, mais il réussit à transmettre toute l'émotion de son personnage. Dupontel, avec son physique, son costume, donne vraiment envie de le flanquer à la porte... tandis qu'il re-rentre par la fenêtre. En plus de cela, cette comédie dramatque nous donne un humour noir et décalé qui fonctionne, et qui nous fait rire sur un sujet bien triste et de plus en plus courant.

Inception

Le monde du rêve et la réalité se ressemblent souvent. En rêvant, nous reproduisons inconsciemment ce que nous voyons tous les jours. Mais où se trouve la frontière? Comment savons-nous que nous rêvons ? En fait, on ne s'en rend compte que lorsque nous nous réveillons...

Cobb est un voleur professionnel, un voleur d'idées! Il s'insinue dans le rêves de personnes de pouvoir pour leur dérober ce qui leur est le plus précieux, pour le compte de leurs ennemis. Alors qu'il est hors-la-loi et loin de sa famille, on lui propose une mission périlleuse, implanter une idée au lieu d'en voler une...

Nolan (réalisateur de Dark Knight) nous emmène dans le monde des rêves où tout peut se passer. Les effets spéciaux sont là, mais pas trop présents. Les scénario est assez bien ficelé avec une complexité des personnages que l'on découvre au fur et à mesure. Bref, tous les ingrédients sont là, mais saurons-nous faire la différence entre rêve et réalité?

Dungeon Twister : La Traîtresse

Dungeon Twister : Le MéchanOrk

GP d'Europe

Voici un grand-prix ennuyeux...

Vettel, qui a pris la pole position a côté de son coéquipier, a mené la course du début à la fin. Au départ, Webber se rate et laisse passer Hamilton, Alonso, Massa, Kubica... et se retrouce 9ème.

Au 8ème tour, alors qu'il vient de chausser les pneus tendres, Webber attaque Kovalainen et sa Lotus. Mais une incompréhension entre les deux pilotes entraine la collision. Webber décole litéralement, percute un panneau publicitaire, retombre à l'envers sur la piste. Puis sa voiture se remet à l'endroit avant de percuter le mur de pneus. Il sort alors miraculeusement seul de sa voiture et marche presque comme si de rien était. Accident heureusement sans conséquence pour lui, mais pas pour la course. Le classement est bouleversé avec le passage par les stands pendant la voiture de sécurité. Vettel et Hamilton reste devant, suivi de Kobayashi qui ne rentre pas au stand, puis Button, Barrichelo, Kubica, Sutil, Buemi, et Alonso. Et oui, mauvais choix pour les Ferrari qui se retrouvent 9ème et 17ème... Hamilton qui était juste devant Alonso au moment de la sortie de la voiture de sécurité l'a doublé alors qu'il n'aurait pas du. Il obtient donc un drive-through, qui n'est pas très grave car Kobayashi 3ème, a retenu tout le monde. L'angalis garde ainsi sa deuxième place... injuste pour Alonso.

A quelques tours de l'arrivée, le classement n'a pas changé. Kobayashi rentre au stand pour mettre les pneus tendres. Il ressort juste devant son équipier en 9ème place. Mais il a des pneus performants et réussit à doubler Alonso, puis Buemi dans les derniers tours! Il finit donc 7ème.

Aucune Mercedes dans les 10 premiers. Mais une pénalité a été infligé à 9 voitures pour non respects de drapeaux bleus. Ce qui donne une place de plus à Alonso au dépent de Buemi, et fait entrer Rosberg dans les points au dépent de De La Rosa.

L'agence tous risques

On se souvient tous de cette série des années 80 où une équipe d'anciens militaires en cavale, aident les "opprimés", en alliant astuces, bricolages et cascades pour se sortir de situations impossibles.

Voici l'adaptation de la série, où l'on commence par la rencontre entre les 4 protagonistes, qui vont ensiute faire quelques missions pour l'armée, jusqu'à ce qu'ils soient devenus hors la loi...

J'ai bien retrouvé l'ambiance de la série, avec un humour si particulier, les cigares d'Hannibal et ses plans sans accrocs, Futé toujours aussi charmeur, Barracuda plus costaud que confiant en avion (étonnant pour un ancien para!) et Looping .... aussi inqualifiable et imprévisible que dans la série, voir plus!

Malgré des situations un peu improbables, on nous sert une histoire assez plausible avec une recontre initiale un peu rapide. Bref, un très bon divertissement, allez le voir pour profiter de la clim des cinés et de la fête du cinéma, pour un bon moment de détente.

GP du canada : doublé McLaren

Petit résumé:
Pour une fois la course a été mouvementée à cause des pneus. La piste du Canada abimait beaucoup les pneus, les plus tendres comme les plus durs. Ce qui obligé les pilotes a s'arrêter plus d'une fois.
Les Red Bull étaient moins en forme puisque pour la première fois, c'est Lewis Hamilton qui a signé la pole position. Webber a également perdu 5 place sur la grille à cause d'un changement de boite de vitesse. Alonso était très proche d'Hamilton, après l'avoir passé, l'espagnol s'est fait repasser après un passage au stand. Webber a mené un temps la course mais a du s'arreter pour un changement de pneus, quand son coéquipier Vettel battaillait un peu avec sa boite de vitesse. Alonso s'est fait passé par la deuxième McLaren de Button, alors qu'il était géné par un retardataire. Finalement, deuxième doublé de McLaren devant Alonso, les deux Red Bull, Rosberg, Kubica (qui fait encore une course solide), Buemi qui amène sa modeste Toro Rosso dans les points et enfin les deux Force India qui ont réussi à dépasser Schumacher dans les derniers tours!

GP de Turquie : doublé de McLaren

Les qualifications :

Comme à chaque grand-prix, les 5 top teams sont présents en Q3. Mais un nouveau venu et un retour change la donne : Petrov mène sa Renault en Q3, toujours près de son coéquipier tout au long du WE, et Kobayashi mène sa Sauber encore une fois. Cela au détriment de Sutil, habitué de Q3, et d'Alonso, qui en combinant erreur de pilotage, manque de performance de la voiture et départ des stands un peu tard en Q2 le prive du super-pole.

Webber prend la pole après une bataille ses poursuivants directs Hamilton, Vettel et Button. Viennent ensuite les Mercedes de Schumi et de Rosberg, Kubica devance Massa, Petrov et enfin Kobayashi.

La course :

Encore une fois, malgré les bagarres, ce ne fut pas une course très passionnante. Au départ, Webber reste devant, Vettel prend l'avantage sur Hamilton, qui reprendra sa place quelque temps plus tard. Schumi passe Button, qui lui rend la monnaie de sa pièce également. Suivent ensuite les pilotes dans l'ordre du départ. Alonso parvient à passer Sutil puis Kobayashi lors du premier arrêt. Vettel prend quant à lui l'avantage sur Hamilton. On avait donc les deux Red Bull, les deux McLaren, les deux Mercedes, les deux Renault chacune devant une Ferrari. Alors q'un doublé Red Bull se préparait, Vettel attaque Webber à l'aspiration. Il semble se rabbattre légèrement sur son coéquipier, ils se touchent, Vettel part en tête-à-queue avec une roue crevée. Envolé le doublé... pas celui de McLaren! Webber, après un passage au stand conserve tout de même une 3ème place. Schumi et Rosberg mène un train toujours devant Kubica, Massa, Petrov et Alonso. Sutil rentre alors dans les points. Les McLaren s'attaquent, Button passe devant Hamilton mais revient ensuite en tête de course. Belle passe d'arme avant que les deux pilotes ne calment le jeu pour assurer le doublé. Alonso, 9ème, attaque alors Petrov, qui a fait une solide course en résistant au double champion du monde espagnol. Une touchette crève un pneu avant de Petrov, qui perd alors sa place dans les points. C'est donc Kobayashi qui entre pour la première fois dans les points.

Les deux équipes en forme étaient bien sur Red Bull et McLaren, avec un avantage à Red Bull en performance, mais avec plus de sérénité chez McLaren, ce qui coute très cher à Vettel et Red Bull. Ferrari était en vrai retrait ce WE, en étant derrière des Renault au contraire en nette progression.

Grand Prix de Monaco : en Bleu et Jaune

Les qualifs : Alonso ne participe pas aux essais qualificatifs. Lors des essais libres du samedi matin, à cause d'une erreur de pilotage, il envoie sa voiture dans le rail dans Massenet. Un changement de coque l'oblige alors à partir des stands pour la course. En Q1, beaucoup avait peur des ralentissements causés par les écuries les plus lentes. 24 voitures sur le circuit cause des embouteillages. Mais il n'a pas eu d'incident notable, puisque les trois écuries Lotus, Virgin et HRT échouent en Q1 "comme d'habitude". En Q2, les Sauber, les Toro Rosso, Sutil et Hulkenberg ne parviennent pas à faire un temps pour passer en Q1. Petrov, voyant son coéquipier Kubica en bonne position, tente le coup, mais percute le mur dans le premier virage et ne pourra plus améliorer. Barrichello et Liuzzi s'invitent dans la cour des grands et partiront 9ème et 10ème. Devant Webber prend la pole à Kubica, devant Vettel, Massa, Hamilton, les deux Mercedes et enfin Button.

La course : Au départ, Vettel passe Kubica, et se place derrière son coéquipier. Alonso part des stands en pneus tendres, bon dernier. Hulkenberg se met dans le rail sous le tunnel et entraine la sortie de la Safety Car. Alonso en profite pour passer les pneus durs. Il pourra aller au bout vu qu'il a passé les deux types de gommes. Sous le régime de la voiture de sécurité, Button abandonne sur un problème moteur. Alonso fait le spectacle en passant les Lotus, Virgin et HRT sans trop de soucis. En tête de course, Webber fait le trou devant Vettel qui a un peu de mal à suivre. Ensuite viennent Kubica, Massa, Hamilton, Schumacher et Rosberg. Lorsqu'Hamilton change de pneus, il repart juste devant Alonso, qui est virtuellement 6ème. Cela se confime après la première vague de ravitaillement. Alonso est passé de la 24ème position à la 6ème! Il devance donc les Mercedes. La SC revient alors que Barrichello percute violemment les rails dans Massenet, apparemment à cause d'eau sur la piste. La course reprend son cours, mais Webber imprime toujours un rythme élevé devant Vettel et les autres. Puis, une 3ème SC entre pour une bouche d'égout a vérifier dans Massenet. Webber gère très bien les départs et prend toujours le large devant Vettel. La seconde moitié de course a été calme. Mais Alonso ayant passé ses pneus durs au deuxième tour, montre parfois des signes de faiblesses, mais tient bon.
4ème SC à 4 tours de l'arrivée. Alors que Trulli tente de prendre l'ascendant sur Chandok, il n'a pas la place et sa monoplace passe au dessus de la tête de l'indien. La course se termine alors sous la SC qui rentre au stand avant le passsage devant le drapeau à damier. Mais Schumacher n'a pas dit son dernier mot. Juste après la "reprise de la course", il accélère mieux qu'Alonso et le passe avant la ligne d'arrivée. Ferrari proteste et mentionne un article du règlement. En effet, la course se terminant sous le régime de la voiture de sécurité, les pilotes n'ont pas le droit de se doubler jusqu'à la ligne d'arrivée. La FIA a décidé de donner une pénalité de 20s à l'Allemand, qui passe de la 6ème place à la 12ème. Mercedes fait appel de cette décision. Affaire à suivre...

Iron Man 2

J'attendais la suite des aventures de Tony Stark avec impatience. J'avais peur d'être décu mais ce n'est pas le cas.

Nous retrouvons notre cher milliardaire mégalo, qui a instauré une paix sans précédent. Alors qu'en Iran, en Corée, ou même aux Etats-Unis, on tente en vain de créer une armure similaire, le gouvernement des USA veut que Tony Stark livre ses secrets. Celui-ci refuse, et fait toujours ce qu'il veut.

C'est à ce moment qu'un scientifique russe décide de se venger à la mort de son père, collègue d'Howard Stark.

J'ai retrouvé le Tony Stark du premier volet, narcissique, et avec un humour toujours aussi piquant. Face à lui, encore des embuches, et un méchant à sa hauteur. Mickey Rourke était parfait pour ce rôle. La relation qu'il entretient avec Pepper est encore bien compliquée, surtout lorsqu'il prend une nouvelle assistante. J'ai trouvé tous les ingrédients pour faire un bon film, de l'humour, de l'action, des scènes encore plus spectaculaires que dans le premier opus, sans oublier deux belles actrices pour le plaisir des yeux!

GP d'Espagne

Qualifications :

Pour ce premier grand-prix européen de l'année, les Red Bull dominent les qualifications en collant parfois une seconde à leurs adversaires. En Q3, comme on pouvait le deviner, les trois nouvelles écuries ne passent pas : Lotus devant Virgin et HRT. Barrichello est juste devant en 18ème position. En Q2, la deuxième Williams, le 2 Toro Rosso, les 2 Force India, De La Rosa, et Petrov échouent. Ce qui est étonnant ce que Kobayashi (Sauber) remplace une Force India en Q1. En Q1, comme je l'ai dit, les Red Bull sont intouchables et forme une belle première ligne, Webber devant Vettel. Suivent ensuite les 4 champions du monde : Hamilton, Alonso, Button puis Schumacher. Kubica prend la 7ème place devant Rosberg (qui n'arrivait pas à régler sa voiture), et Massa. Koboyashi ferme la marche.

La course :

Webber n'a pas perdu l'avantage face à son équipier. Dans le premier tour, derrière les Red Bull, se suivent Hamilton, Alonso, Button, Schumacher, Massa. Rosberg et Kubica ratent leur départ. Cette course n'a pas été passionante. Jusqu'au 15ème-18ème tour, les positions sont restées stables. Hamilton a passé Vettel lors du changement de pneus. Schumacher a fait de même sur Button. L'allemand a offert un beau spectacle puisqu'il a du resisté à Button un peu plus rapide que lui. On a donc Webber, Hamilton, Vettel, Alonso, Schumacher, Button, Massa. Ce classement est resté le même jusque dans les 10 derniers tours. Alors que les 4 premiers ont plus de 30s d'avance sur Schumacher, Vettel fait une erreur, va dans les graviers mais ne perd pas trop de temps. Il passe par les stands pour changer de pneus et concède la 3ème place à Alonso. Mais le pire est à venir pour Vettel, ses freins sont près de lacher! Il doit terminer en les ménageant au maximum et utilise même son frein-moteur. L'espagnol en avait gardé sous le pied pour les derniers tours et se met à revenir sur Hamilton. Ce dernier réagit pour montrer que lui aussi peut aller plus vite. Mais dans un virage, un pièce se casse à l'avant gauche de sa McLaren, ce qui le projette dans les pneus. Alonso prend alors une deuxième place inespérée entre les deux Red Bull.

Ce qu'il faut retenir de cette course : un Schumacher que l'on retrouve au sommet de son art, sans doute grâce aux modifications apportées à sa Mercedes. Un problème de fiabilité récurrent sur les Red Bull, qui a encore failli faire perdre très gros à Vettel.

Adèle Blanc-Sec et ses aventures.

Adèle Blanc-Sec, célèbre journaliste est prète à tout pour sauver sa soeur, même aller faire un tour en Egypte pour rencontrer le médecin de Ramsès II. Nous nous retrouvons dans un Paris du debut du siècle dernier, où un drame se produit : la voiture d'un homme d'état a un accident mystérieux et se retrouve dans la seine. Le président de la république pense alors qu'on veut le déstabiliser et lance ses plus fins limiers sur l'affaire. Adèle rentre alors d'Egypte avec un colis un peu particulier...

Je ne me prononcerai pas sur l'adaptation de la BD puisque je ne la connais pas, mais je peux dire qu'on ne s'ennuie pas. On a ici affaire à une Indiana Jones féminine d'un autre temps. Il y a forcément plein d'embuches sur son passage. Cependant, j'aurais demandé un peu plus de rythme, et un méchant un peu plus présent. L'humour est également présent avec quelques bonnes répliques de Louise Bourgoin. La jeune comédienne qui s'en sort bien dans le rôle titre.

Pour les observateurs, on notera un petit clin d'oeil à Tintin et au fétiche arumbaya ayant "L'oreille cassée".

GP de Chine

Les qualifications :

Pas de pluie ce samedi. La séance a été plutôt classique. En Q3, les 3 nouvelles équipes ont échouées. Ce qui est le plus étonnant, c'est Liuzzi qui n'a pas réussi à passer en Q2. Ensuite, la hiérarchie a été respectée, les deux Williams, les deux Toro Rosso, et les deux Sauber. Petrov complète les 7 éliminés de Q2. En Q1, il restait donc les 4 écuries de pointes, ainsi que la Force India de Sutil et la Renault de Kubica. La bataille fut rude mais Vettel a pris la pole devant Webber. Alonso et Rosberg se partage la 2ème ligne. Suivent ensuite Button et Hamilton, Massa et Kubica. Schumacher a apparemment du mal à s'habituer à sa voiture, car il se qualifie en 9ème place devant Sutil.


La course :

Alors qu'un peu de pluie est tombée, la course commence alors que tous les pilotes ont gardés leurs pneus pour le sec. Après le tour de formation, Vettel s'arrête sur la pole mais légèrement de travers. Ce qui lui fit perdre un peu de l'avantage de la première place. L'évènement du départ vint de l'espagnol. Alonso vole le départ, se retrouve premier... et écope d'un drive-trough. Petrov (14ème au départ) parvient presque à rejoindre son coéquipier. Au premier virage, Liuzzi pert le contrôle, percute Buemi et Kobayashi. La voiture de sécurité entre en piste. Beaucoup de voitures comme Alonso, les Red Bull, Hamilton prennent les pneus intermédiaires. Button, Rosberg et les Renault conservent les pneus slicks. Bonne pioche pour eux malgré le retour rapide des autres voitures. Ces derniers repassent ensuite des pneus pour le sec. Alors que les 4 premiers sont un peu tranquilles, loin devant ceux qui ont changé de pneus, Buemi, touché par un retardataire, casse son aileron avant, laisse du carbone sur la piste. La voiture de sécurité sort une seconde fois. Les 4 premiers se voient rattrapés par leurs poursuivants. Button freine tout le monde lorsque la voiture de sécurité rentre, ce qui gène les Red Bull qui perent alors des places. Avec le retour de la pluie, tout le monde reprend les pneus intermédiaires. Button reste en tête devant Rosberg et les Renault. Alonso passe Massa dans l'entrée des stands. Hamilton fait une superbe remontée, passant Petrov, Kubica, Rosberg, pour arriver en deuxième place. Petrov fait une erreur et se retourve en 10ème place. Alonso dépasse ensuite Kubica pour se placer derrière Rosberg. A ce moment les Red Bull ont une baisse de forme. Petrov est la grande surprise : il passe Alguersuari, Schumacher, puis Webber.

Au final, joli doublé de McLaren avec des pneus usés, un deuxième podium pour Rosberg. Alonso, malgré ses 5 passages par les stands, arrive 4ème. Les deux Renault se classe 5ème et 7ème, chacune devant une Red Bull. Schumacher finit 10ème derrière Massa.

GP de Malaisie

Qualifs sous la pluie :
Les grosses équipes McLaren et Ferrari attendent pour partir en Q1, d'après la météo, la pluie va diminuer. Or, il se passe l'inverse : grosse pluie, ce qui fait qu'ils ne réussisent pas à faire un bon temps. Massa, Hamilton, Alonso ne passent pas Q1. Button qui avait réussi un temps parvient en Q2 mais finit dans les graviers dans on sdernier tour. Il partira donc 17ème.
Webber prend la pole position devant Rosberg, Vettel et Sutil.

La course :
Au premier virage, Vettel prend la tête devant Webber et Rosberg. Kubica gagne deux places et les suit. La course a été un peu moins mouvementée que la précédente. Ces 4 pilotes n'ont pas vraiment été inquiétés. Seul Hamilton parti 20ème a fait une superbe remontée. Mais avec les passages par les stands, il finit 6ème. Il y a eu une superbe bataille entre Hamilton et Petrov (sur sa Renault). Hamilton le passe mais Petrov profite du virage suivant pour reprendre sa position. Dans la ligne droite des stands, Hamilton fait 4 changements de ligne pour empecher Petrov de prendre l'aspiration alors qu'1 seul n'est autorisé. Il reçoit alors un avertissement de la direction de course. Button a eu moins de chance que son coéquipier alors qu'il partait devant. Surement la faute a des pneus durs moins performants que les tendres. Il batailla d'ailleurs longtemps avec Alonso, qui était handicapé par une boite de vitesse fonctionnant mal. Même avec ce handicap, il montrait qu'il était plus rapide que son coéquipier à certains moments de la course, mais il est resté derrière. Massa est remonté à la 7ème place, entre les deux McLaren. Juste derrière Button, Alonso a du abandonné a près un beau panache de fumée sortant de son moteur. Cela a permis à Jaime Alguersuari de marquer ses premiers points et à Nico Hulkenberg de rentrer également dans les points.

GP d'Australie

Départ sous la pluie pour ce deuxième grand-prix de la saison. Au premier virage, Button touche Alonso qui part en tête-à-queue qui envoie Schumacher dans l'herbe. L'espagnol repars dernier et l'allemand repasse par les stands pour changer son aileron avant.
Kubica et Massa font un super départ.
Après 10 tours, Button chausse les pneus slicks. Il est imité un à deux tours après par tous les autres pilotes.
Vettel mène, mais un problème de frein l'envoie dans le bac à gravier à mi-course.
A 25 tours de l'arrivée, Webber,Hamilton et Rosberg rechangent de pneus pour des neufs.
Button mène alors devant Kubica, Massa et enfin Alonso. Tous les 4 gardent leur pneus, mais sont rattrapés par le trio.
Alonso, avec des pneus usés résiste à Hamilton. A quelques tours de l'arrivée, alors que Rosberg revient sur Webber, Hamilton tente un dépassement sur Alonso, mais se rate. Cela surprend Webber qui percute l'arrière de la McLaren d'Hamilton.
Tous deux font une sortie de piste au bénéfice de Rosberg qui revient comme une fusée sur Alonso. Hamilton perd une place et Webber doit passer par les stands... Alonso résiste jusqu'au bout et fini 4ème alors qu'il était dernier à la fin du premier tour : une superbe remontée à la Schumi. Ce dernier a d'ailleurs fait une course anonyme, avec un rythme étrangement lent, mais il prend le petit point de la 10ème place.
Les Red Bull étaient surement les meilleures aujourd'hui, mais le manque de fiabilité a une fois de plus couté très cher à Vettel, qui a abandonné deux fois en deux courses alors qu'il menait. Les McLaren et les Ferrari étaient aussi très fortes, alors 3 pilotes sur 4 qui ont réussi à faire 50 tours avec le même train de pneus, en les économisant. Les Mercedes étaient bien en retrait sur ce grand-prix. La grande surprise est la 2ème place de Kubica, qui montre le potentiel de sa Renault. Une course bien plus intéressante que la première de la saison 2010. Grâce à la pluie de début de course et du circuit qui permet de doubler.
A noter l'accident de la Sauber de Kobayashi, qui a encore perdu son aileron avant, qui s'est tout simplement détaché de sa voiture... ce qui était déjà arrivé lors des essais libres. Selon l'équipe, il aurait touché un vibreur ce qui l'aurait endommagé.

Alice au pays des merveilles

Alice au Pays des Merveilles, selon Tim Burton.

J'ai été déçu... J'aime bien les films de Tim Burton en général, comme L'étrange Noel de M. Jack, ou Les noces funèbres. Mais là, bien que le graphisme soit décalé, et très agréable à regarder, j'ai trouve l'histoire trop simpliste. Une méchante, la reine rouge, une gentille, la reine blanche, et bien sur l'héroïne qui doit sauver le pays des merveilles.

Je ne sais pas s'il fallait connaître le conte pour apprécier ce film, mais je me suis ennuyé. Bref, je donne une note 3/5 pour les effets visuels. La 3D était un petit plus pour les effets du Chat du Cheshire, ou lorsque le Lièvre de Mars nous lançait des tasses à la figure.

La rafle

Que dire pour présenter ce film... souvenons-nous du 16 juillet 1942 à Paris, et du vélodrome d'hiver, où plus de 10000 juifs ont été rassemblés avant de les envoyer dans des camps.

Malgré les critiques, quelques fois négatives, j'ai voulu me faire ma propre opinion de ce film. Tout d'abord, plusieurs têtes d'affiches : Gad Elmaleh en chef de famille juive, Jean Reno en médecin juif, et Mélanie Laurent en infirmière. Cette dernière fait passer une émotion intense dans les relations qu'elle entretient avec les enfants.

Pour ce qui est du fond du film, je ne me permettrais pas de juger, n'ayant ni vécu ni connu ces évènements. Je voudrais juste dire que même si on a entendu parler de la rafle du "vel d'hiv", la voir ainsi en images nous frappe par tant de cruauté, de violences à l'égard des personnes raflées.

A la différence de bien des films, on sait ici que ce drame s'est réellement passé, Annette (jouée par Mélanie Laurent) et Jo (le fils du personnage joué par Gad Elmaleh) ont réellement vécu ces évènements. Ce film est poignant, vous prend aux tripes. En le voyant, vous pouvez aussi bien ressentir de la colère contre ceux qui ont participé ou n'ont pas empêché ca, ou encore une grande tristesse pour toutes ces familles, ces enfants qui ont été séparés de leur mère par des soldats allemands et des gendarmes.

Devoir de mémoire ou non, je pense qu'il faut voir ce film.

GP de Bahreïn : début de saison en rouge !

Début de saison : nouvelles équipes, nouveaux pilotes, nouvelles règlementations.

En course, plus de ravitaillement de carburant, seulement le changement des pneus, où les deux types de gomme sont obligatoires comme l'an dernier. Le train de pneu utilisé pour Q3 est repris pour le début de la course. Les pilotes font le plein pour toute la course.

Qualification : sans surprise, les 3 nouvelles équipes Lotus, Virgin, et HRT échoue en Q1 où 7 pilotes s'arrêtent. En Q2, ce sont les Williams et Sauber qui éhouent.

Les 4 équipes que l'on prévoyait sont en Q1 : Ferrari, Mercedes, McLaren et Red Bull. Deux invités surprise, la Renault de Kubica et la Force India de Sutil. Vettel sort son épingle du jeu et prend la pole, devant Alonso et Massa.

La course : Tout le monde a une voiture lourde. Le départ se passe sans trop d'encombre, mais après le premier virage, un trop plein d'huile de Webber provoque un nuage de fumée. Ceci a sans doute provoqué l'accrochage entre Kubica et Sutil. Ils partent tous les deux en tête à queue, perdant ainsi leur avantage des 9 et 10 ème du départ.

La course fut calme, pas beaucoup de dépassement, 7 abandons. A noter que les deux Lotus ont rallié l'arrivée. Kubica est revenu jusqu'à la porte des points. Liuzzi remplace Sutil dans le top 10, devant Barrichello. Les 4 top teams prennent les 8 premières places. Vettel ayant fait la course en tête, a reculé de trois places à cause d'un souci technique. Il laisse Alonso en tête devant Massa et Hamilton. Derrière Vettel vienne Rosberg, Schumacher, Button et enfin Webber.

On voit aujourd'hui que les Ferrari sont en forme, avec un doublé, mais Vettel est sans nul doute le meilleur (sans son problème mécanique). Les Mercedes et McLaren sont en léger retrait, avec un Schumi de retour avec uen 6ème place. Il se remet en selle doucement mais surement. Très bonne surprise des Force India, et la Renault semble avoir un bon potentiel. Sans l'incident du premier tour, Kubica serait sans doute resté dans les points. Mais nous verrons en Australie dans deux semaines la suite des évènements.

Première peinture de figurine...

Voici un missionaire du jeu de plateau Age Of Empires 3 :

Cela m'a pris environ 2h aujourd'hui... je suis assez content de moi pour une première...

Edit : Photo de meilleure qualité que la précédente

Coursier

Le trublion Michaël Youn est de retour une comédie policière, déjantée ou non??

Sam est un coursier parisien, qui a une perception bien à lui du code de la route. Le jour du mariage de sa belle-soeur, son patron l'appelle pour une course de 10 minutes. Il accepte pour une prime de 100€ mais ne sait pas dans quoi il s'embarque...

Cette comédie est en quelque sorte un Taxi sur 2 roues. Un peu d'action, de l'humour, des femmes sexy, quelques armes... et des poursuites. On aurait pu croire que Youn rendrait ce film complètement barré, mais ce n'est pas le cas. Malgré quelques passages un peu lourd, et quelques clichés (la papa flic ui verbalise son fils, la femme fatale adepte des armes à feu...) le tout constitue un film tout à fait regardable, qui permet de rire et de se détendre!

Océans

Après Home de Yann Arthus-Bertrand et le Peuple Migrateur du même réalisateur (Jacques Perrin), ce film semblait dans la lignée, ce qui m'a poussé à aller le voir. D'après ce que j'avais entendu et lu, les images sont magnifiques.

Finalement, j'ai été décu. Certes, les images sont époustouflantes, on voyage dans les mers et océans aux cotés de dauphins, requins, baleines, poissons méduses et autres créatures marines.

J'ai trouvé que les commentaires manquaient. Ils ne sont pas complètement absents et la bande son nous accompagne bien. Mais nous voyons des animaux et des lieux que nous ne connaissons pas. Cela aurait mérité une minimum d'explications pour apprendre à connaitre ce que l'on était en train de voir et retenir un peu plus notre attention.

Je finirai sur une note écolo. Evidemment ce film a cette vocation. On nous montre les pèches monstrueuses ou des mammifères marins sont pris au piège, la pèche des requins pour leurs ailerons qui sont rejetés dans la mer et qui meurent au fond de l'eau faute de pouvoir nager. Et bien sur la poubelle... beaucoup de déchets se retrouvent à la mer, et également tout ce qui est charrié par les fleuves et rejetés.

En conclusion, de très belles images qui font réfléchir sur le sort de l'océan, mais qui est bien en retarit par rapport à un film comme Home à cause d'un manque d'explication.

Sherlock Holmes

Tout le monde connait le célèbre détective anglais, fumeur de pipe, résidant à Baker Street (Londres), et son ami le docteur Watson, un peu rondouillard.

Et bien, ce que connais le grand public de part les films et séries créées autour du personnage de Doyle n'a pas grand chose à voir avec ce qui se trouve dans le film. Le duo a été revu et corrigé par Guy Ritchie.

L'action est présente dès le début du film et nous tient en halène jusqu'au bout. Attention, il n'est pas ici question de longue déduction du détective sur une tache de sang au pied de la commode de la chambre de la malheureuse victime... non, pas du tout, mais son sens de l'observation et de déduction l'aide tout au long de son enquête sans que se soit long et rébarbatif.

Le personnage de Watson, joué par Jude Law, donne également un coup de fouet et de belles scènes d'action.

Quant à la relation qu'entretiennent les deux protagonistes, il y a quelques fois des ambiguités sur ce qui les lie, mais ceci donne un peu de piment au jeu des acteurs, où Robert Downey Jr s'en donne à coeur joie, créant des situations cocasses où l'on se marre bien!

A voir sans aucune hésitation!

Invictus

Invictus, ou comment Nelson Mandela unifie l'Afrique du Sud autour d'un sport, le rugby.
Après l'Apartheid, Nelson Mandela est élu à la tête du pays. Mais le pays est divisé, notamment sur le plan racial. Les uns jouent au football, les autres aux rugby. Le président souhaite alors que les SpringBox participe à la coupe du monde de rugby en 1995, malgré le niveau modeste de l'équipe. Nous connaissons la suite...

Comme je l'ai quelques fois lu ou entendu dans des critiques, je trouve que ce n'est pas le meilleur film de Clint Eastwood. Bien que l'on ressente de l'émotion, que les deux heures de film nous sembe passer très vite, ce film n'est pas à la hauteur de Million Dollar Baby ou encore de Gran Torino. Mais on retrouve la patte du réalisateur, reprenant les faits historiques, mais sans en faire trop. A voir...

Le titre du film est en fait le titre du poème préféré de Neslon Mendela, qui est cité dans le film.